Modèle à l'honneur | Malaika Firth
Deux ans après son début dans le mannequinat, Malaika Firth est devenue la nouvelle "Naomi" a seulement 19 ans.
Originaire du Kenya, elle est très vite demandée un peu partout, notamment pour l'un des créateurs les plus exclusifs, Prada.
Interview de ce nouveau phénomène, réalisé par Bill Rood pour models.com et Lauren McCarthy pour wwd (traduction et assemblage par mes soins, merci de ne pas copier innocemment) :
Vous êtes originaire du Kenya. Combien de temps avez-vous vécu là-bas avant de déménager à Londres?
M.: Je suis née au Kenya et j'y vécu durant sept ans. J'ai été à l'école là-bas et j'ai beaucoup appris en Afrique.
Avez-vous été repérée dans la rue ou bien avez-vous chercher des agences?
M.: En fait, j'ai regardé le programme The Model Agency à la télé en Angleterre. J'adorais l'ambiance et l'agence en elle-même. J'étais fan de Premier Models Management. Du coup j'en ai parlé à ma mère qui les a appelés et ensuite nous avons eu une réunion avec Carol, la fondatrice de Premier qui m'a tout de suite apprécié et m'a prise. J'avais 17 ans.
Votre mère vous a toujours supporté?
M.: Oui, elle m'a accompagné à tous les castings!
Est-ce difficile d'être loin de votre famille?
M.: Oui car nous sommes une famille forte et très liée entre nous. Lors de mon premier voyage à New York, j'étais très nerveuse. Puis avec le temps, c'est passé.
Avant de devenir mannequin, où étais-tu niveau mode?
M.: Au Kenya, il n'y avait rien sur la mode. Quand je suis arrivée en Angleterre, j'ai vu toutes ces jolies filles dans les magasines et à lé télévision et je me disais "Je veux être comme ça", c'était tellement cool. Et à l'âge de quatorze ans, je me suis intéressée à la mode mais pas à la mode en tant que tel, plus à la beauté des jolies filles.
Comment avez-vous accroché avec Prada?
M.: J'ai fait un casting à New York. Le lendemain, on m'a appelé pour faire un shooting ( de la campagne d'hiver). Mon agence m'a prise dans une pièce et m'a dit :"Tu as la campagne Prada!". J'étais comme extatique. J'étais tellement excitée!
Comment cela s'est passé sur le plateau?
M.: C'était top! Tout le monde était gentil et chaleureux. Je me sentais complètement différente avec la veste, les talons et le sac! Je n’étais pas Malaika, j'étais quelqu'un d'autre. Quand j'ai shooté avec Meisel, il était humble et très simple, c'était incroyable!
Qui avait-il d'autre sur le plateau ce jour-là?
M.: Il y avait Christy Turlington, Catherine McNeil...
Saviez-vous que ce sont de grands modèles?
M.: J'ai parlé avec eux sur le plateau sans savoir qui ils étaient. Ils étaient très terre à terre. C'est en sortant que je suis allée voir sur Google, que j'ai vu leurs photos et que j'ai découvert qui ils étaient. Je me suis dit "Wow!", je ne savais pas cela.
Y-a-til quelqu'un d'autre en particulier à qui vous vous êtes intéressé?
M.: En fait, il y a beaucoup de modèles auxquelles je me suis intéressé mais je me sens comme étant quelqu'un qui a pris des petits morceaux d'elles et des morceaux de moi pour faire "Malaika". Sinon j'apprécie Jourdan Dunn, Joan Smalls & Cara Delevingne mais j'essaie d'être moi-même. J'ai rencontré Jourdan Dunn à Oxford Circus il y a deux ans, quand j'ai commencé la modélisation. Je pensais qu'elle serait un peu diva mais elle était super sympa.
Ou étiez-vous quand vous avez vu la campagne?
M.: J'étais chez IKEA. J'achetais un canapé et mon agent m'a téléphoné, il m'a dit: "Les photos sont sorties". J'étais tellement excitée que j'ai criée dans le IKEA.
Vous êtes le premier mannequin noire en vedette dans une campagne Prada depuis Naomi Campbell en 1994. Comment vous sentez-vous?
M.: Je suis très fière d'être le deuxième mannequin noire, et en même temps je suis mitigée. Je suis biracial, je ne suis pas blanche ni noire. Mais je suis très fière d'être comparée à Naomi Campbell.
Après votre campagne Prada, vous avez fait le show masculin Prada. Comment cela s'est passé?
M.: J'ai reçu un appel de mon agence me disant que j'allais faire le show masculin. Je n'y croyais pas! J'avais décroché la campagne et maintenant je faisais le show masculin. C'était mon premier show!
Étiez-vous nerveux à l'idée de travailler avec des modèles masculins?
M.: Non tous les hommes étaient très gentils. J'ai trouvé cela passionnant et moins stressant que de porter des talons. L'accent est mis sur les gars pas sur les filles.
Qu'est-ce que vous appréciez le plus dans votre métier jusqu'à présent?
M.: Voyager! J'adore voyager, même si cela me fait peur. Quand je volais avec ma mère, j'avais l'habitude de la tenir et de me mettre à pleurer, mais récemment j'ai trouvé le moyen d'y échapper. Lorsque vous êtes dans les nuages, c'est comme si personne ne pouvait vous toucher, vous parler, ...vous êtes dans votre bulle et j'adore ça! J'adore explorer de nouveaux endroits. J'aime mon travail, aller dans différents restaurants, parler aux gens, c'est plutôt cool!
Comment vous sentez vous par rapport à ces jobs pour lesquels vous avez été bookés si tôt dans votre carrière?
M.: Ça ne s'est pas fait comme ça. J'ai travaillé très dur. J'ai fait beaucoup d'éditoriaux et de shoots avant de décrocher la campagne Prada. J'ai l'impression d'avoir travaillé très dur pour être arrivé là ou je suis maintenant.
Que voudriez-vous essayer par la suite?
M.: J'adorerais être une actrice.
Un rôle en particulier que vous aimeriez jouer?
M.: Une femme vraiment folle, quelque chose de très triste où je pourrais pleurer durant toute la pièce. J'adorerais ça!
C'est incroyable! Votre caractère vous pousse à la comédie?
J'ai du plaisir à montrer mes émotins, il y a tellement d'émotions en nous qui sont simple à exprimer. J'adore ça!
Hâte de la voir défiler en septembre!
Avez-vous été repérée dans la rue ou bien avez-vous chercher des agences?
M.: En fait, j'ai regardé le programme The Model Agency à la télé en Angleterre. J'adorais l'ambiance et l'agence en elle-même. J'étais fan de Premier Models Management. Du coup j'en ai parlé à ma mère qui les a appelés et ensuite nous avons eu une réunion avec Carol, la fondatrice de Premier qui m'a tout de suite apprécié et m'a prise. J'avais 17 ans.
Votre mère vous a toujours supporté?
M.: Oui, elle m'a accompagné à tous les castings!
Est-ce difficile d'être loin de votre famille?
M.: Oui car nous sommes une famille forte et très liée entre nous. Lors de mon premier voyage à New York, j'étais très nerveuse. Puis avec le temps, c'est passé.
Avant de devenir mannequin, où étais-tu niveau mode?
M.: Au Kenya, il n'y avait rien sur la mode. Quand je suis arrivée en Angleterre, j'ai vu toutes ces jolies filles dans les magasines et à lé télévision et je me disais "Je veux être comme ça", c'était tellement cool. Et à l'âge de quatorze ans, je me suis intéressée à la mode mais pas à la mode en tant que tel, plus à la beauté des jolies filles.
Comment avez-vous accroché avec Prada?
M.: J'ai fait un casting à New York. Le lendemain, on m'a appelé pour faire un shooting ( de la campagne d'hiver). Mon agence m'a prise dans une pièce et m'a dit :"Tu as la campagne Prada!". J'étais comme extatique. J'étais tellement excitée!
Comment cela s'est passé sur le plateau?
M.: C'était top! Tout le monde était gentil et chaleureux. Je me sentais complètement différente avec la veste, les talons et le sac! Je n’étais pas Malaika, j'étais quelqu'un d'autre. Quand j'ai shooté avec Meisel, il était humble et très simple, c'était incroyable!
Qui avait-il d'autre sur le plateau ce jour-là?
M.: Il y avait Christy Turlington, Catherine McNeil...
Saviez-vous que ce sont de grands modèles?
M.: J'ai parlé avec eux sur le plateau sans savoir qui ils étaient. Ils étaient très terre à terre. C'est en sortant que je suis allée voir sur Google, que j'ai vu leurs photos et que j'ai découvert qui ils étaient. Je me suis dit "Wow!", je ne savais pas cela.
Y-a-til quelqu'un d'autre en particulier à qui vous vous êtes intéressé?
M.: En fait, il y a beaucoup de modèles auxquelles je me suis intéressé mais je me sens comme étant quelqu'un qui a pris des petits morceaux d'elles et des morceaux de moi pour faire "Malaika". Sinon j'apprécie Jourdan Dunn, Joan Smalls & Cara Delevingne mais j'essaie d'être moi-même. J'ai rencontré Jourdan Dunn à Oxford Circus il y a deux ans, quand j'ai commencé la modélisation. Je pensais qu'elle serait un peu diva mais elle était super sympa.
Ou étiez-vous quand vous avez vu la campagne?
M.: J'étais chez IKEA. J'achetais un canapé et mon agent m'a téléphoné, il m'a dit: "Les photos sont sorties". J'étais tellement excitée que j'ai criée dans le IKEA.
Vous êtes le premier mannequin noire en vedette dans une campagne Prada depuis Naomi Campbell en 1994. Comment vous sentez-vous?
M.: Je suis très fière d'être le deuxième mannequin noire, et en même temps je suis mitigée. Je suis biracial, je ne suis pas blanche ni noire. Mais je suis très fière d'être comparée à Naomi Campbell.
Après votre campagne Prada, vous avez fait le show masculin Prada. Comment cela s'est passé?
M.: J'ai reçu un appel de mon agence me disant que j'allais faire le show masculin. Je n'y croyais pas! J'avais décroché la campagne et maintenant je faisais le show masculin. C'était mon premier show!
Étiez-vous nerveux à l'idée de travailler avec des modèles masculins?
M.: Non tous les hommes étaient très gentils. J'ai trouvé cela passionnant et moins stressant que de porter des talons. L'accent est mis sur les gars pas sur les filles.
Qu'est-ce que vous appréciez le plus dans votre métier jusqu'à présent?
M.: Voyager! J'adore voyager, même si cela me fait peur. Quand je volais avec ma mère, j'avais l'habitude de la tenir et de me mettre à pleurer, mais récemment j'ai trouvé le moyen d'y échapper. Lorsque vous êtes dans les nuages, c'est comme si personne ne pouvait vous toucher, vous parler, ...vous êtes dans votre bulle et j'adore ça! J'adore explorer de nouveaux endroits. J'aime mon travail, aller dans différents restaurants, parler aux gens, c'est plutôt cool!
Comment vous sentez vous par rapport à ces jobs pour lesquels vous avez été bookés si tôt dans votre carrière?
M.: Ça ne s'est pas fait comme ça. J'ai travaillé très dur. J'ai fait beaucoup d'éditoriaux et de shoots avant de décrocher la campagne Prada. J'ai l'impression d'avoir travaillé très dur pour être arrivé là ou je suis maintenant.
Que voudriez-vous essayer par la suite?
M.: J'adorerais être une actrice.
Un rôle en particulier que vous aimeriez jouer?
M.: Une femme vraiment folle, quelque chose de très triste où je pourrais pleurer durant toute la pièce. J'adorerais ça!
C'est incroyable! Votre caractère vous pousse à la comédie?
J'ai du plaisir à montrer mes émotins, il y a tellement d'émotions en nous qui sont simple à exprimer. J'adore ça!
Hâte de la voir défiler en septembre!
Une jolie bouille!!
RépondreSupprimerelle aun tres beau visage!il est atypique je trouve!j'ai vraiment hate de voir son evolution.
RépondreSupprimermignone sans plus.... en tt cas elle ne peux absolument pas etre comparee a naomie, qui est feline et elegante quand celle ci n'est qu'une jolie fille comme on en croise tt les jours....decidement les mannekin aujourd'hui on fait l'effort de ne pas les choisir trop belle comme s'etait les cas avant le milieu des annee 90... elle doivent justes etre de jolie cintre pas plus. des filles reellement belle... et meme trop comme emilie didonato, constance,ou hilary rhoda sont boudee par la haute coutureet on leur laisse des contrat trop commerciaux... certes tres bien payes mais bontoutes ces nouvelles filles m'ennuient c simple je ne retiend mem plus leur noms
RépondreSupprimerElle a un beau visage!
RépondreSupprimerToute jolie et vraiment sympa cet interview
RépondreSupprimerElle est très mignonne ! Mais mon coup de coeur, niveau mannequin noire, c'est Senait Gidey: une canadienne d'origine éthiopienne juste sublime ! Elle est entrain de monter en puissance, c'est cool !
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